Grande passionnée d’art, elle sut très jeune que la créativité artistique allait rythmer sa vie. Le dessin et la danse furent ses premières passions. Issue des quartiers défavorisés en banlieue parisienne, Sarah a su se donner les moyens de réussir. La culture artistique n’étant pas à sa portée, elle a su, de par sa curiosité, la rendre accessible. Soutenue par ses proches, elle envisagea très tôt des études dans le domaine artistique. Durant son cursus scolaire à la Sorbonne, elle évolue auprès de grands artistes tels que Vincent Dulom et Ing Séra.

 

L’évolution de sa pratique tout au long de son parcours, la mène vers une seule problématique : Comment permettre à la peinture de s’affirmer en tant qu’œuvre d’art ?

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Dénuder la peinture de toute forme de représentation, lui permet de ne plus être perçu comme un simple médium. L’absence de traces de la gestualité de l’artiste sur son travail permet à l’œuvre d’être libre et autonome.

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Dès son entrée à la faculté, elle prit contact avec le Maire de la ville de Valenton afin d’obtenir un atelier. À 27 ans, Sarah a eu l’occasion d’exposer dans différents espaces:

 

En 2016 et en 2018, son travail est publié dans deux journaux.

 

En 2016, ses toiles sont sélectionnées pour être accrochées dans l’espace d’exposition de la Sorbonne.

 

En 2017 elle fait partie d’une sélection d’artistes pour une exposition collective à l’ESPE de Paris.

 

En 2018 a lieu l’inauguration d’une de ces œuvres qui fut reconnue comme œuvre de la ville. Elle se trouve actuellement exposée à la mairie de Valenton.

 

En 2018 elle fut contactée par la galerie « Libre est l’art » pour une exposition à Paris.

 

En 2019 et 2022, elle expose au Centre Annie Fratellini à Paris